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Orbituaire des Templiers de la Commanderie de Reims

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Obituaire de la commanderie du Temple de Reims

Avertissement

I

Ce texte, écrit en grande partie au XIIIe siècle, est conservé à la Bibliothèque nationale sous le n° 15054 du fonds latin ; jusqu'à ce jour, malgré l'intérêt que présente son contenu, personne n'a songé à le faire connaître ni même à s'en servir.
Le manuscrit, relié sans que l'ordre des matières ait été respecté, se compose de 94 feuillets en parchemin, de 0,22 de hauteur sur 0,15 de largeur. Les pages 1, 91, 92 sont des feuilles de garde, empruntées à un manuscrit du XIIe siècle, contenant une prose en l'honneur de saint Timothée, martyr rémois ; les pages 93 et 94 sont couvertes de notes mentionnant des rentes dues par diverses personnes à la commanderie de Reims ; elles ont été écrites à la fin du XIIIe siècle.

Les feuillets 2 à 38, 55 à 62, contiennent un martyrologe, ex diversis codicibus excerptum, composé pour la commanderie de Reims, ou pour la collégiale de la Trinité, qui la précéda, ainsi que le prouvent les mentions suivantes :
— « XIX nonas jan. Remis, depositio sancti Rigoberti episcopi et confessoris. » (Folio 2, v°.)
— « III id. aug. Eodem die, Remis, translatio sancti Galixti pape et martyris. » (Folio 29, r°.)
— « Kal. sept. Item, depositio beati Sinicii Remorum archiepiscopi. » (Folio 31, v°.)
— « III non. sept. Item, depositio sanctorum confessorum atque pontificum Remacli et Mansueti. » (Folio 32, r°.)
— « VII id. sept. Item, Cathalaunis, depositio beati Alpini episcopi et confessoris.
— Item, Remis, beati Vivencii episcopi et confessoris. » (Folio 32, v°.)
— « Item, Remis, dedicatio ecclesie Sancte Trinitatis. » (Folio 62, v°.)
— Pendant que nous nous occupons des annotations du manuscrit, citons-en encore quelques-unes qui ne sont pas sans intérêt au point de vue de l'histoire de la commanderie :
— « Guido, clericus de Sparnaco, anatematizat omnes mala loquentes.
— XV id. junii, recessit Guido, clericus, a domo milicie Templi Remensis, anno Domini M. CC. nonagesimo nono. » 15 (Folio 94.)
— « Anno Domini millesimo quingentesimo tricesimo tercio, die Jovis XXIX amensis januarii, altare beate Marie de Loreto in ecclesia Templi Remensis dedicatum ac sacratum fuit per reverendum in Christo patrem et dominum A. Jo. episcopum Russionensem (1), tempore fratris Francisci Sarradin, tunc prefati Templi preceptoris, qui dictam capellam una cum dominici corporis sepulchro fieri ac construi fecit. Requiescat anima ejus in pace. » (Folio 38, v°.)

A la fin de l'obituaire on lit, en écriture du XVe siècle, repassée à l'encre au XVIIe :
— « Anno Domini millesimo trecentesimo quinquagesimo v°, kal. novembris, in festo apostolorum Symonis et Judæ , fuerunt a reverendo in Christo patre ac domino, domino J. Diogonatan. (2) episcopo, tria altaria in ecclesia Sanctæ Trinitatis dedicata atque consecrata, scilicet beatæ Mariæ Virginis, altare sanctæ Crucis, altare sancti Nichasii. »
2. Le scribe qui a repassé ce texte à l'encre l'a fait si maladroitement qu'il a rendu illisible le mot primitivement écrit.

Les feuillets 63 à 76, 83 à 91, contiennent la règle de Saint-Augustin, et l'obituaire lui-même remplit les 42 autres. Nous publions la copie textuelle de ce document que le commandeur Marin Cochois avait vendu, avec beaucoup d'autres manuscrits ou livres, dans la première moitié du XVIIe siècle et qui, racheté par un chanoine de la cathédrale, fut restitué au frère Le Gras, probablement chapelain de la maison. 1. Ce nom est très distinctement écrit, mais je n'ai pas réussi, jusqu'ici, à deviner le siège épiscopal que l'on a voulu désigner ; je n'ose proposer Rossano de Calabre, en latin Russianum.

II

Nous ne donnerons pas de longs détails sur l'histoire de la commanderie de Reims : en 1867, nous avons publié une énumération sommaire des biens qu'elle possédait (1) ; depuis, M. Mannier a réuni des renseignements précis auxquels nous nous contentons de renvoyer (2).
1. Bulletins et Mémoires de l'Académie de Reims, tome XLII. Voyez l'ouvrage de M. Pr. Tarbé sur les Rues et monuments de Reims, page 165 et suivantes.
2. Les commanderies du Grand-Prieuré de France, tome I, page 271 et suivantes.


Il suffit de rappeler que le Temple de Reims fut établi dans l'ancienne église de la Trinité, vers le milieu du XIIe siècle, par l'archevêque Henri, avec le consentement du Chapitre métropolitain à qui, jusque dans les dernières années, il était dû un surcens annuel de 25 sous. D'après la tradition, il aurait existé dans le même lieu une église dédiée à saint Martin par saint Remy, en souvenir d'un incendie miraculeusement éteint ; sur les ruines de la chapelle de Saint-Martin, un doyen du chapitre de la cathédrale, Constant, construisit celle de la Trinité, au commencement du XIe siècle, en y fondant quatre prébendes, que son neveu, Guerry, porta à dix (3).
3. Une note du XVIIe siècle, écrite à la fin de l'obituaire, résume en ces termes l'histoire des origines de la commanderie : « Dominus Remigius, qui primus fondator extitit, obiit anno Domini 545. Dominus Constantius reparare et reedificare fecit ecclesiam circiter anno Domini 1040 et quatuor prebendas in ea instituit. Illius nepos et successor decanus ecclesiæ Beatæ Mariæ Remensis adhuc sex prebendas auxit et erexit. Dominus Henricus, archiepiscopus, totam domum et omnes appendentias ejus Templariis contulit ; qui quidem Templarii abrogati seu exterminati fuerunt circiter anno Domini 1310, et tota domus ordini S. Joannis Jerosolimitani attributa. F. Joannes Le Gras. »

On a dit et répété que les chanoines de la Trinité étaient restés, pendant quelque temps, réunis aux Templiers ; cette assertion nous paraît être dénuée de fondement. Du jour où l'église de la Trinité fut assignée aux frères de la milice du Temple, les chanoines cessèrent de jouir de leurs prébendes ; nous remarquons, à deux reprises, des personnages mentionnés comme ayant été d'abord chanoines de la Trinité et ensuite de Saint-Rémy. Il nous semble très probable que ces faits se rattachent au passage de la Trinité aux mains des Templiers.

En lisant attentivement le texte de l'obituaire, on constate que, très souvent, les décès de chanoines de la Trinité y sont rappelés ; ceci s'explique tout naturellement en admettant que l'obituaire des Templiers n'est que la continuation de celui de la collégiale. Les fondations et les aumônes faites en faveur de celle-ci passant en d'autres mains, il est évident que les obligations étaient également transmises. Il en résultait que les services et les prières dus aux bienfaiteurs décédés auxquels on devait ces libéralités continuaient à être acquittés par les nouveaux possesseurs.

Il semble que, généralement, l'expression dedit huic ecclesie s'applique aux fondations consenties avant les Templiers ; ceux-ci emploient la formule dedit nobis, ou dedit milicie Templi. Il ne faut pas cependant admettre cette règle sans exceptions. Dans quelques endroits, peut-être durant les premières années, l'expression dedit huic ecclesie s'applique aussi au Temple ; je citerai, par exemple, les articles où la monnaie parisis est mentionnée (2 des cal. de mars et 7 des ides de mai) ; ceux des calendes de mars, du 2 et du 5 des nones d'avril, dans lesquels il est parlé des frères du Temple et du vicus Templi. En tout cas on ne peut nier que ces cas, assez rares, ne soient de véritables exceptions.

III

Un renseignement important contenu dans le texte que nous publions ici touche à la succession des maîtres du Temple. Plusieurs d'entre eux manquent, sans doute parce que le jour anniversaire de leur mort n'était pas connu à Reims. Nous donnons ci-dessous, dans un tableau, le résumé des ouvrages les plus sérieux qui se sont occupés de la chronologie des grands-maîtres du Temple.

D'abord la liste publiée par Du Cange, dans son Glossaire; c'est le travail définitif qu'il proposa d'après les notes recueillies par lui. Ces notes ont été éditées par M. G. Rey (1). Il est à remarquer que, dans ces notes, Du Cange avait d'abord porté plusieurs Templiers qui n'avaient été que simples maîtres provinciaux ; de plus, il avait accepté du président de Boissieu quelques noms de grands-maitres dont l'authenticité fut niée par Dom Clément. Boissieu, dominé par le désir d'illustrer la généalogie de sa famille, fournit des indications dénuées de preuves, qui ne méritent aucune confiance.
1. Les familles d'outre-mer de Du Cange, par E. G. Rey, 1869, in-8°, pages 869 à 892.

Vient ensuite une liste, retrouvée par Bréquigny en Angleterre, dans un terrier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem date de 1342 (2) ; puis le travail de Dom Clément, dans l'Art de vérifier les dates, rédigé d'après les documents connus alors ; Dom Clément avait eu connaissance du texte signalé par Bréquigny. Enfin le résumé des recherches faites par M. Wilcke dont le livre, édité en Allemagne, est l'ouvrage le plus récent publié sur ce sujet (3).
2. Bibliothèque Cotton. Nero, E, VI, fol. 466. Ce texte a été transcrit en 1858 par M. Blancard, dans une mission dont il fut chargé pour recueillir des documents sur l'histoire des Templiers ; il a été imprimé dans la Revue des Sociétés savantes (IV° série, tome VI). Il a aussi été donné, mais avec quelques incorrections, dans l'Histoire critique et apologétique de l'ordre des chevaliers du Temple de Jérusalem dits Templiers, par feu le R. P. M. J., chanoine de Prémontré, prieur d'Etival, page 25 de l'introduction (Paris, Guillot, 1789, 2 volumes in-8°). 3. Geschichte des Ordens der Tempelherren, par Ferd. Wilcke, 2e édition, Halle, 1862.

Le texte de l'obituaire de la commanderie de Reims présente ce détail précieux que chaque fois qu'il donne le nom d'un grand-maitre il l'accompagne d'un chiffre indiquant son rang dans l'ordre chronologique ; notons que le chiffre total est 22, et il ne comprend pas Jacques de Molay qui, en raison de l'époque à laquelle il a vécu, ne peut figurer ici. Les lacunes portent sur les numéros 13, 15, 16, 17, 18, 20 et 21 ; il est facile de suppléer les numéros 15, 16, 18, 20 et 21 ; la question est plus délicate en ce qui concerne les numéros 13 et 17. Là, il y a lieu d'attendre encore que des documents d'archives permettent de trouver la solution du problème.

IV

La date exacte de la fondation de la commanderie de Reims ne peut être placée qu'approximativement entre l'avènement de l'archevêque Henri (1162) et 1170. A cette dernière date, nous voyons le pape intervenir pour terminer une discussion en matière de sépulture qui s'était élevée entre ce prélat et le commandeur ; il s'agissait d'un chevalier, enterré dans le cimetière des Templiers ; l'archevêque l'avait fait exhumer sous le prétexte non fondé qu'il était mort excommunié (1).
1. D. Martène, Ampliss. coll., II, 847.

Le premier commandeur se nommait Etienne. L'obituaire, à la date du V des calendes d'avril, rappelle qu'il établit le dortoir, les stalles, répara l'église et lui donna des ornements, des tapis et des livres. Etienne avait la confiance de l'archevêque dont il fut le mandataire à Rome dans deux occasions, vers 1171 ou 1172 : d'abord lorsque Henri eut à se plaindre de l'évêque de Beauvais qui, à deux reprises, avait manqué de déférence envers son métropolitain ; ensuite dans le différend avec l'évêque de Senlis qui s'était permis de partager entre l'un de ses archidiacres et un clerc de l'archevêque une prébende qu'il avait promis de conférer intégralement à ce dernier. Dans cette mission, Etienne était accompagné d'un templier, Daimbert, que nous retrouvons en 1173, chargé par l'archevêque d'acquitter à Boson, seigneur de Sampigny, 300 livres pour l'acquisition de son fief (2).
2. Historiens de France, tome XV, page 902 et 905. — Archives administratives de Reims, tome 1, page 364.

Après Etienne, vient Acelin, marqué à l'obituaire à la date des ides de juillet. Il figure comme prêtre et commandeur de Reims dans une charte de 1179, du cartulaire de Signy, contenant un accord entre cette abbaye et la commanderie de Seraincourt et Chaumontaigne (3).
3. Cartulaire de Signy (archives de la Meuse). Les témoins qui figurent dans cette charte, du côté des Templiers, sont : « Petrus, miles et procurator domorum Laudunensis episcopatus ; Willelmus, capellanus ; Balduinus, clericus ; Jozo, miles, et magister de Serenicurte ; Hugo, Stephanus et Rainaldus, conversi ; Herbertus, magister de Calmontina ; Morellus, prepositus de Roseto. »

Hugues parait dans un acte de 1244 comme témoin et vivait encore en 1263 ; il était alors probablement à Merlan. Sa mort est indiquée au 5 des ides d'aout (1).
1. Archives nationales, S. 5036. — Archives administratives de Reims, tome I, page 867.

Baron avait succédé à Hugues dès 1263 ; tous deux paraissent dans une enquête faite par ordre du roi au sujet de ses droits et de ceux de l'archevêque sur la garde de Saint-Rémy.

Arnoul de Wesemale, maitre d'hôtel de Philippe le Hardi, d'abord maréchal de Brabant, avait épousé Alix de Brabant, veuve de Guillaume VIII, comte d'Auvergne, et auparavant de Louis, comte de Loos. Entré dans l'ordre du Temple, il fut successivement commandeur de Reims et de Brie, joua un certain rôle comme homme de guerre, particulièrement dans la campagne de Navarre, et assista à plusieurs réceptions de Templiers. Il mourut le 14 août 1291 et fut enterré dans la chapelle de la commanderie de Chevru ; il était représenté sur son tombeau avec son écu parti d'un semis de fleurs de lis et de trois fleurs de lis au pied coupé (2).
2. P. Anselme, tome VIII, page 320. — Procès des Templiers, tome II, page 4, 286, 312, 346.

Jean le Naoche, indiqué dans un acte de 1280.
Gautier de Biencourt, ou Lioncourt, reçu templier à Paris en 1273 ; il était présent en 1302 a une réception faite à la Neuville-au-Temple, près de Châlons. Lors du procès de l'Ordre, Gautier fut du nombre de ceux qui chargèrent les Templiers des accusations les plus graves (3).
3. Procès des Templiers, tome I, page 407 ; tome II, page 298.

L'obituaire nous fait connaître un trésorier de la commanderie de Reims, Aubert, au 9 des calendes de février ; nous en trouvons un autre, Henri, mentionné dans le procès ; il avait été reçu à Reims, vers 1289, par Jean le Verjus. Ce document mentionne en outre deux prêtres :
Girard, au 4 des ides de mars ; Douard, au 2 des calendes de novembre ; un frère servant, Guillaume, au 13 des calendes de juin ; enfin quelques chevaliers, Baudouin Akarins, Hervé, Jean de Paris, Isambart Godart, Beuvon de Leffincourt. A ces noms ajoutons, d'apres les actes du procès, celui de Thierry de Reims, commandeur de Prunay-le-Temple (Seine-et-Oise) ; Thierry fut reçu vers 1281, dans la commanderie de Reims, par Jean le Verjus, en présence de Richard, prêtre de la maison, qui assistait également à la réception du trésorier Henri(1).
1. Procès des Templiers, tome II, page 286 et 298.

Suite chronologique des Grands-Maîtres du TempleImage du tableau
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Orbituaire de Reims
1. Hugo de Paens
2. Robertus Burgundus
3. B. de Tremelai
4. A. de Monte Barri
5. Bertrandus
6. Ph. Neupolis
7. Odon de S. Amando (1)
8. Ernaulus de Terra Ruba
9. Girardus de Ridefort
10. Robertus de Saboel
11. Gilbertus Arail
12. Philippus de Plaessiez
13. Sans nom
14. Guillaume Carnolensis
15. Sans nom
16. Sans nom
17. Sans nom
18. Sans nom
19. Reginald de Vicheriis
20. Sans nom
21. Sans nom
22. Theobaldus Godin
1. — Dans un acte de 1183, d'Héraclius, patriarche de Jérusalem, figurent parmi les témoins : Arnaldus de Turre Rubea, magister Templi, Gyrardus de Radifort, senescalcus, Girbertus Arayl, magnus preceptor (Chartes de l'abbaye N. D. de Josaphat, pubiides par M. H.-Fr Delaborde, page 90).

Familles d'Outre-Mer
1. Hugues de Payens
2. Robertus Burgundus
2. Everardus des Barres (2)
2. Hugo
3. Bernardus Tramelay
4. Andreas de Monte Barro
5. B. de Blanquefort
6. Ph. de Neapolis
7. Odo de S. Amando
8. Arnaldus de Torogio
8. Theodericus
9. Gerardus de Riduffor
9. Gualterius
10. Robertus de Saboil
11. Gilbertus Eral
11. Pontius Rigaldus
12. Phipippus de Plessieiz
13. Theobaldus de Berziaco
13. Guillemus de Montedon
14. Guillemus de Carnoto
15. Thomas de Monte Acuto
15. A.
16. Hermanus de Petragoria
17. Sans nom
18. Guillemus de Sennac
19. Renaldus de Vichier
19. Aimericus
20. Thomas Berart (3)
20. Robertus
20. Guillemus de Salvaing
21. Guillemus de Bellojoco
22. Monachus Gaudin
23. Jacques de Molay
2. — En 1154, une charte de Baudouin III, roi de Jérusalem, mentionne Ebrardus, magister Templi ; Andreas de Monte Barro, sans qualification. II semble qu'il n'a dû être que très peu de temps maitre du Temple, avant André de Montbar, et qu'on l'a confondu, à cause de son nom, avec Evrard des Barres, dont le magistère est très douteux (Chartes de l'abbaye N. D. de Josaphat, page 70).
3. — Une lettre de Hugues Revel, Grand-maitre des Hospitaliers, du 17 mai 1273, adressée à Gui de Dampierre, comte de Flandre annonce ce dernier la mort de Thomas Bérard et l'élection de Guillauræ de Beaujeu, son successeur, (Six lettres relatives aux Croisades, publiées par le comte Riant, Archives de l'Orient latin, tome I, page 390).


Ms Bibliothèque Cotton
1. Hugo de Paens
2. Burgundus
2. Ebardus
3. Bernardus de Trameley
4. Andreas Brooke
5. Bertrandus
6. Philippus de Neapoli
7. Ode de S. Amando
8. Alanus de Tirrurobea
9. Girardus de Ridfort
10. Robertus de Sambell
11. Gilbertus Grail
12. Philippus de Plesseto
13. Sans nom
14. Willelmus de Carnato
15. Petrus de Monte Acuto
15. Armand de Petragrossa
16. Hermanus de Petragoricus
17. Richard de Bures
18. Willemus de Savenay
19. Reginus de Vichers
20. Thomas Berard
21. Willemus de Bello Loco
22. Theobald Goydin
23. Sans nom

Dom Clément
1. Hugues de Pains
2. Robert le Bourguignon
2. Evrard des Barres
3. B. de Tremeley
4. Sans nom
5. Bertrandus de Blanquefort
6. Philippe de Naplouse
7. Odon de Saint-Amand
8. Arnaud de Toroge
8. Terric
9. Gerard de Riderfort
10. Robert de Sablé
11. Gilbertus Horal
12. Philippus du Plessiez
13. Sans nom
14. Guillaume de Chartres
15. Pierre de Montaigu
16. Herman ou Armand de Périgord ou Peyragos
17. Sans nom
18. Guillaume de Sonnac
19. Renaud de Vichiers
20. Thomas Bérard
21. Guillaume de Beaujeu
22. Le moine Gaudini
23. Jacques de Molay

Ferdrich Wilcke
1. Hugues de Payens
2. Robert de Craon
2. Eberhard de Bar
3. B. de Tramelay
4. Sans nom
5. Bertrand de Blancfort
6. Philippe de Naples
7. Odon de Saint-Amand
8. Arnold de Toroje
9. Gerhard de Ridefort
9. Walter de Spalten
10. Robert de Sablé
11. Gilbert Hural
11. Terricus
12. Philippe de Plessis
13. Sans nom
14. Guillaume de Chartres
15. Pierre de Montaigu
16. Herman de Périgord
17. Sans nom
18. Guillaume de Sonnac
19. Rainaud de Vichiers
20. Thomas Bérard
21. Guillaume de Beaujeu
22. Thomas Gaudin
23. Jacques de Molay

OBITUARIUM TEMPLI REMENSIS. — Détail des actes en latin. BNF

Sources : Edouard de Barthélemy. Sources : Mélanges historiques : choix de documents, Tome quatrième, page 303. Paris 1882 BNF

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